Quand le cerveau réduit l'impact d'un trauma : la dissociation

Lorsqu’il nous arrive un gros traumatisme comme le viol, le burn out… quelques choses de « gros », souvent notre être, le cerveau se met en sécurité, nous perdons la notion du temps, il y a une déconnexion entre les pensées, les environnements, les émotions et l'identité , ce mécanisme de défense survient lorsque des situations de vie auxquelles nous ne pouvons pas faire face et que notre corps essaie de réduire l'impact qu'elles nous supposent en prenant ses distances avec ce qui se passe. Nous évitons de ressentir de la douleur, de la peur et d'être conscients de ce qui se passe autour de nous. En gros dans ce mode de sécurité nous devenons spectateur de la scène, nous sortons de notre corps, on se dédouble : il y a nous et nous en dehors. Ce mécanisme qu’on appelle la dissociation est activé lorsqu'il n'y a aucun moyen de sortir de ce qui se passe, atteignant la paralysie physique, émotionnelle et même la perte de mémoire. Par conséquent, dans le cas de viols, d'abus et de violence, il est très courant que les victimes ne manifestent au début aucune émotion et ne se souviennent pas clairement des faits. Pour l’avoir vécu lors du viol et du burn out c’est une sensation étrange de sortie de corps et quelques une des personnes que j’accompagne l’ont vécu aussi. C’est aussi pour cela que souvent nous sommes dans le déni, on ne se souvient pas. Si toi aussi tu as vécu un jour ce phénomène de dissociation et que tu as envie d’en parler je suis à ta disposition. Christophe F Desbonnet +33 6 78 50 48 79 Psychopraticien - Coach en Psychologie Positive Hypnothérapeute - Energéticien/Magnétiseur Médium

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